Pour ceux qui ne maitrisent pas complètement l’anglais, continuez la lecture de l’article vous y trouverez les principaux points abordés et pour les autres cliquez sur le lien ci-dessous…
Sur la présentation :
La Tesla est donc une voiture 100% électrique, ce n’est pas une hybride, elle n’a pas de réservoir d’essence ou de moteur. Et le seul liquide qu’il faut parfois recharger c’est celui du lave glace.
Elle se branche sur une prise de courant normale mais on peut acheter un adaptateur si on veut la charger plus vite.
Comme on lui pose souvent la question de l’autonomie, il y répond qu’il a déjà fait 4000 miles et que ses inquiétudes à ce sujet sont envolées. Il charge sa voiture tous les soirs et s’il prévoit des longs voyages, il utilise les « supercharger » qui sont répartis en général à mi-chemin entre les grandes villes (aux US). Les 20 minutes de charge laissent le temps d’aller boire un café et de faire d’autres choses étranges dans les toilettes de routiers.
Le nom de la voiture :
Après quelques dérives sur son enfance où la mécanique et lui faisaient deux mais que son père insistait pour qu’il l’assiste. Il parle aussi de son attrait pour un style de vie plus geek et enfin de sa vengeance à constater qu’au final avec la Tesla il en sait plus sur sa voiture que des fans de voitures / mécanique.
Mais une chose ne lui plait pas … le nom du modèle « Model S », il préfère largement « vaisseau intergalactique de lumière et émerveillement » ou autre, mais un nom qui relève le fait que la voiture est digne de la science fiction, un vrai véhicule du futur :
– Avec des poignées invisibles en mode parking et qui s’activent que lors que le véhicule détecte son propriétaire à proximité.
– Un démarrage sans bruit qui s’enclenche en détectant votre présence dans la voiture.
– Une voiture dont le moteur est de la taille d’une pastèque
– Un moteur électrique dont l’origine remonte à 1880
– Rien sous le capot, juste un grand espace vide où on peut se mettre nu (dixit l’auteur).
– Aucun arrêt à la station service depuis des mois.
L’accélération :
La puissance est disponible immédiatement pas de temps de latence, pas de vitesses à passer, c’est fluide et terrifiant. Il compare l’accélération de la Tesla avec celle d’une balle tirée d’un pistolet avec un silencieux.
Ca ne ressemble en rien à l’accélération d’une voiture normale, ni à celle d’une voiture de sport. Cela ressemblerait à « une Ferrari qui aurait copulé avec un dragon de la chance » (nda : un peu du mal avec cette métaphore lol)
Boutons :
Ils sont quasiment absents de cette voiture, à la place on trouve une sorte d’Ipad géant.De cet écran tactile il contrôle l’ensemble des fonctionnalités de la voiture. C’est comme avoir un petit robot cyborg qui exauce toutes les envies.
Hélas il n’est pas possible d’installer d’application sur cette « tablette » et c’est bien dommage car il imaginerait facilement une application qui imite le bruit d’une voiture de course ça lui éviterait de le faire lui même (nda : oui on imagine facilement le ridicule de la scène). Il a bien d’autres idées d’applications farfelues.
Interaction avec un smartphone :
A distance via son smartphone il est possible de localiser le véhicule, savoir son niveau de charge (ou combien de temps il lui reste avant d’être chargée), et d’envoyer des demandes à la voiture comme de climatiser la voiture juste avant votre retour du restaurant, ouvrir le toit ouvrant, etc.
La voiture attirant beaucoup les curieux, l’auteur vous recommande l’application smartphone pour vous amuser à les effrayer avec un coup de klaxon notamment.
Axes de batailles :
Je zappe volontairement une partie moins intéressantes pour en arriver à l’excellente note obtenu par la Tesla S en terme de sécurité. Parce qu’elle n’a pas de moteur à l’avant, en cas de crash elle est beaucoup moins dangereuse. Le positionnement de ses batteries lui offre également un centre de gravité bas.
L’auteur de la BD nous indique que l’on pourrait empiler 4 Tesla sans que le toit ne cède… (nda : on ne va pas tester pour vérifier).
Je passe de nouveau pas mal de paragraphes mais l’essentiel est là. C’est une belle réalisation qui a de l’avenir face aux voitures à essence. Au cas où vous ne l’auriez pas compris l’auteur de la BD est fan de sa Tesla !
En tout cas pour ma part je suis très intriguée et intéressée par cette voiture également et j’espère avoir l’occasion un jour d’en tester une.
Cette BD est une formidable idée ! Cela donne encore plus envie de tester et pourquoi pas d’acheter la voiture ! Tesla devrait presque de l’argent à l’artiste 🙂